Mercredi 4 juin, notre professeur d’Histoire-Géographie Mme Oumier a permis aux classes de 2B et 1A de rencontrer deux intervenantes qui ont ouvert à nos yeux ébahis le monde des échanges transfrontaliers. Mais quésaco? Pour notre classe, les échanges transfrontaliers c’était à l’origine une manière savante de dire “Allons faire les courses en Allemagne!” ou “Allons travailler en Suisse!”. Toutefois, nos intervenantes, par le biais de jeux ludiques et d’échanges à l’oral, nous ont permis de comprendre que c’est en fait bien plus que ça! Bien que l’objectif de l’intervention était surtout de présenter toutes les opportunités qu’offre l’Allemagne aux français qui souhaitent voyager, étudier, travailler, nous avons pu découvrir à quel point cette facilité d’accès au continent européen était une véritable chance.
Voyages touristiques, voyages culturels, voyages universitaires ont tous un point commun : ils nous permettent de découvrir le monde. Les intervenantes, toutes les deux familières avec ces voyages, nous ont présenté, avec des photos et des témoignages personnels, ce que les échanges transfrontaliers leur ont apporté. Cependant, certaines craintes subsistaient chez les élèves : comment financer ces échanges? Et au-delà du financement, la barrière de langue n’est-elle pas un frein pour les esprits de ceux qui rejettent la langue de Goethe? Rapidement, nos intervenantes ont chassé ces craintes de nos petites têtes : il existe en fait un nombre inimaginable d’aides fournies par les régions qui proposent ces échanges transfrontaliers : des pass rails obtenables par concours permettant de traverser le continent presque gratuitement en train, des laboratoires qui vous aident à financer vos études? Tout existe, et est à notre portée.
Si vous souhaitez retrouver des informations concernant les échanges transfrontaliers et les aides disponibles, n’hésitez pas à consulter les associations et programmes de l’Union Européenne (Erasmus+, Discover EU, ESC, etc.). Nous remercions chaleureusement Mme Oumier, sans qui cette intervention n’aurait pas eu lieu, ainsi que nos deux intervenantes venues depuis Strasbourg pour leur présentation de ces échanges.
Elise SIDORYK et Léonard ORY, 1A